Un peu d’histoire

Quelques mots sur le SAPSCQ

1e109051-ffc2-4007-96e3-2c88f1756e6aNotre histoire, c’est bien plus que 39 ans de passion et d’acharnement. C’est plus de 50 années d’existence et de solidarité.

Nous le connaissons actuellement sous le nom de Syndicat des agents de la paix en services correctionnels du Québec (SAPSCQ), mais notre syndicat a bien changé depuis sa création. Son identité distincte, sa force et son authenticité s’expriment par la passion de ses bâtisseurs depuis maintenant 35 ans.

Or avant même son accréditation, le 4 mars 1982 sous le nom de UAPIP (Union des agents de la paix en institutions pénales), de nombreux débats avaient déjà été menés et de nombreuses prises de position avaient déjà été émises avec conviction par les acteurs du moment. Nous n’en ferons pas l’historique complet, mais bon nombre d’éléments y seront relatés puisqu’ils nous permettent de comprendre davantage les 35 dernières années, celles de notre indépendance comme organisation.

C’est une histoire bien jeune que la nôtre, une histoire qui ne fait que commencer. Nombreuses encore sont les barrières que devra traverser la jeune génération de travailleurs et travailleuses d’aujourd’hui qui seront appelés à écrire notre avenir. D’immenses défis restent à venir dans les prochains chapitres de cette histoire commune. Car même si le SAPSCQ n’en est plus à ses premiers pas, il demeure tout de même bien jeune, et bien unique.

Notre souhait est qu’à la lecture de cet ouvrage, les acteurs que vous êtes, ceux de 2007, conservent la passion qui a caractérisé le quart de siècle que nous célébrons aujourd’hui. Que l’on cultive avec dignité l’acharnement et le goût de la cause commune comme il se doit, dans un esprit ouvert et honnête.

Le présent document est précieux puisqu’il représente le début de notre histoire, mais il est aussi une belle source d’inspiration. Il se veut un hommage bien senti à nos prédécesseurs, nos bâtisseurs. Nous vous invitons à prendre connaissance de l’histoire de notre Syndicat par le biais de ses bâtisseurs.